Aujourd'hui, nous avons sélectionné pour vous :
- Le Rhône en crue, un nouveau spot de surf ? ;
- Les travaux de rénovation du pont-canal de la Tranchasse reportés sine die ;
- Ecluse de Méricourt : les déchets disparus réapparaissent en aval ;
- Un collectif d'architectes réagit contre le projet de passerelles "habitées" à Paris...
LYON CAPITALE =>Deux Lyonnais surfent sur le Rhône !
(Le Rhône, nouveau spot de surf ? La vidéo de ces deux lyonnais surfant allégrement sur le fleuve en crue pourrait le laisser penser. "Le spot, d'une largeur de 3 m et rendu praticable par la montée des eaux, se situe près du parc de Miribel" précise le journaliste...)
LE PARISIEN => Crue : le bateau grue enlève les déchets à Suresnes
(Depuis mardi, le "Télémaque", bateau grue de Voies navigables de France, extrait de la Seine les déchets bloqués aux écluses de Suresnes (Hauts-de-Seine). Préfet et maires continuent de pister les déchets disparus dimanche soir de l'écluse de Méricourt. Depuis ce mardi matin, des centaines d'objets flottants commencent à envahir les rives de la Seine dans le département de l'Eure, en aval de Méricourt...)
LE BERRY => La rénovation du pont-canal de la Tranchasse, estimée à 1,2 million d’euros, a pris du retard
(Le début des travaux de rénovation du pont-canal de la Tranchasse était annoncé pour septembre 2017 par le Syndicat du canal de Berry. Mais le calendrier n’a pas pu être respecté. Et, pour l’heure, aucune date n’est avancée par le syndicat pour ce chantier de réhabilitation qui s’inscrit dans l’aménagement du Canal de Berry à vélo)
LIBERATION => La Seine n’est pas à vendre !
(Un collectif de 8 architectes publie aujourd'hui une tribune intitulée "La Seine n'est pas à vendre" dans le quotidien Libération pour réagir contre le projet de construction de 3 passerelles "habitées" à Paris. Financées par des investisseurs qui géreraient les activités commerciales implantés au-dessus de l'eau, ces passerelles conduiraient, selon la tribune, à "commercialiser la Seine" et ses paysages. A moins que ce projet ne soit "qu’un coup de comm' ?" s'interrogent les signataires...)