Aujourd'hui, nous avons sélectionné pour vous :
- Une décision de justice interdit à un professionnel d’amarrer ses bateaux de travail près de chez lui ;
- Un convoi fluvial exceptionnel entre Lauterbourg et Mayence ;
- Sur la Seine, la passerelle piétonne du barrage de Vives-Eaux ouverte au public ;
- Un jeune Français remonte le Mékong à la rame, de l’embouchure à la source…
ACTU => Bruit et odeurs insupportables : il amarrait des pousseurs de péniches dans un jardin en Normandie
(Le gérant d’une entreprise de transport fluvial amarrait occasionnellement ses pousseurs au bout de son jardin sur la Seine. Assigné en justice par son voisin pour troubles sonores et olfactifs, il se voit interdire l’amarrage sur ce site malgré une convention d’occupation temporaire du domaine public fluvial accordée par Voies navigables de France (VNF)…)
LE REPUBLICAIN LORRAIN => Faulquemont : un four de 80 tonnes en partance pour l’Allemagne
(Trois pièces de 80, 35 et 30 tonnes et de 30 m de long d’un four destiné à brûler les boues de station d’épuration, ont été chargées mardi à Faulquemont (Moselle) sur un convoi exceptionnel composé de 3 camions, qui les a conduit au port de Lauterbourg (Bas-Rhin). Elles ont fini leur voyage vers Mayence, en Allemagne, par bateau…)
VNF => La passerelle piétonne du barrage de Vives-Eaux ouverte au public
(La passerelle piétonne du barrage de Vives-Eaux (Seine-et-Marne) inauguré à l’automne 2018, a ouvert au public le lundi 11 février. Fruit d’un accord entre Voies navigables de France (VNF) et les communes, son ouverture permet aux piétons et cyclistes de Boissise-le-Roi d’accéder au RER D sur l’autre rive, à Boissise-la-Bertrand…)
LE PETIT JOURNAL => Arthur Fourdraine, le Français qui veut remonter le Mékong en kayak
(Arthur Fourdraine, un Français de 25 ans qui vit à Kep, au Cambodge, projette de remonter le Mékong de son embouchure à sa source, en kayak, sans assistance. Parti le dimanche 10 février de l’embouchure au Vietnam, l’ancien chasseur alpin espère atteindre la source tibétaine du Mékong entre septembre et octobre, avant que la neige n’ait recouvert la région…)