Aujourd'hui, nous avons sélectionné pour vous :
- Les incivilités se multiplient sur les quais de Narbonne ;
- Le Necta reste bloqué dans une écluse sur le canal des Ardennes ;
- L'Œil d'Argus, un bateau de 120 ans aux 30e Rendez-vous de l'Erdre ;
- En Bretagne, au début du XXe siècle, deux bateaux accolés pour transporter du foin...
L'INDEPENDANT => Narbonne: incivilités, agressions… actes de piraterie en eau douce
(A Narbonne (Aude), sur le canal de la Robine, les incivilités - amarres détachés en pleine nuit, fil d'alimentation électrique débranché, vols de vélos ou de panneaux solaires... - se multiplient depuis quelque temps. Un batelier, installé depuis trois ans quai Victor-Hugo, a même été victime d'une agression en pleine nuit par deux individus encagoulés qui l'ont menacé d'un couteau. Les bateliers envisagent, les uns après les autres, de lever l'ancre pour d'autres rivages...)
FRANCE 3 => Une péniche reste bloquée dans une écluse à Montgon (Ardennes)
(Samedi, le Necta un bateau de commerce de 38 m a été immobilisé une grande partie de la journée, bloqué dans une écluse à Montgon (Ardennes), sur le canal des Ardennes. Le bateau a finalement été débloqué, au marteau-piqueur (!), dans l'après-midi et a pu reprendre son voyage en direction de Liège (Belgique)...)
FRANCE 3 => Nantes : l'année des péniches aux Rendez-vous de l'Erdre
(Parmi les bateaux qui ont rejoint Nantes pour les 30e Rendez-vous de l'Erdre, se trouve L'Œil d'Argus, un bateau construit il y a 120 ans. Le bateau a transporté des marchandises sur le canal de Nantes à Brest avant d'être aménagé en logement et de devenir, il y a 18 ans, l'habitation de la famille Badonnel-Hulin...)
CANAUX DE BRETAGNE => Le musée de la Batellerie de l'Ouest explique... le transport de foin sur deux bateaux accolés
(La carte postale ancienne commentée par Charly Bayou montre deux bateaux reliés entre eux par des perches et chargés d'une impressionnante cargaison de foin. Pendant l’été, deux mariniers pouvaient ainsi s'entendre pour transporter, jusqu'à la Loire, une cargaison qui représentait plus du double de ce qu’un seul bateau aurait pu transporter. "Chaque chargement et déchargement nécessitait huit à dix jours de manutention, ce qui explique la forte rentabilité d’un tel transport"...)