Le deux-cent-vingt-troisième numéro de Fluvial a été déposé dans les maisons de Presse le 31 mai.
Cette année, la navigation ne manquera pas d'eau. Les pluies d'avril et mai ont fini par recharger les lacs réservoirs. Les grandes migrations ont donc commencé. Et c'est à Tokyo, étonnante Venise asiatique, que la couverture de FLUVIAL vous invite. Mais le sommaire de ce numéro vous réserve bien d'autres destinations, et bien d'autres surprises...

=> Tokyo, ville d'eau. Dans l'imaginaire collectif, Tokyo est une mégapole couverte de buildings et d'écrans géants. On sait moins, en revanche, que la ville est sillonnée par un vaste réseau de voies d'eau dont certaines, très anciennes, datent du XVème siècle. Vous partez à la découverte des 863 km de voies navigables de la capitale nippone...

=> Une croisière au travers tout l'Étang de Thau. Des derniers kilomètres du canal du Midi aux premiers PK du canal du Rhône à Sète. Chaque journée de navigation prend des aspects très différents. Le morceau de bravoure reste ce grand étang de 7.500 hectares, aux allures de mer intérieure. Il ne tolère les bateaux fluviaux qu'à la condition qu'ils composent avec la météo (interdiction de naviguer au-dessus de force 3)

=> Une petite incursion fluviale dans la campagne Bessanaise, sur une rivière dont on parle peu. À vrai dire, nous ne l'avions jamais empruntée. Mais nous l’avons parcourue l’été dernier, et nous vous invitons, vous aussi, à emprunter l’Hérault : une escapade pleine de charme, doublée d’un bain de nature

=> Sur la Seine en cargo. Jean-Philippe Lamotte a embarqué sur le "Debussy" un bateau moderne de 86 mètres propulsé par un V12 de 1.200 CV. Une immersion de 3 jours dans le monde de la navigation fluviale à grand gabarit. 110 m2 habitables et 2.300 m3 de cale. Le macaron, pièce maîtresse de la timonerie, a disparu, remplacé par des joysticks, des ordinateurs et des écrans de contrôle...

=> Sur le canal du Nivernais à bord d'un bateau de rêve. Il y a 4 ans, Tim Harrold est tombé sous le charme du "Randle", un bateau de 21,50m qui marie avec élégance les équipements d’hier et les technologies d’aujourd’hui. À son bord, Tim partage sa passion pour le Bourgogne et le Nivernais avec une clientèle anglo-saxonne

=> Dossier "eaux noires". Ce numéro consacre un gros dossier au stockage et au traitement des eaux grises et noires :

1. - Des "chie-dans-l'eau" à la loi de 2006. Si les mariniers d’antan étaient affublés de ce peu aimable surnom, c'est que pendant longtemps les commodités à bord avaient été réduites à leur plus simple expression. L’exutoire naturel était le "par-dessus bord". Votée en 2006, la loi sur l’eau et les milieux aquatiques impose désormais aux usagers des voies navigables de stocker ou de traiter leurs eaux usées...
2. - Traitement des eaux noires de bord. Un plaisancier produit en moyenne 10 l d’eaux noires par jour, qui sont encore, le plus souvent, rejetées au fil de l’onde. Exigés pour les nouveaux bateaux depuis 2008, les systèmes de rétention ou de traitement in-bord des eaux noires vont s'imposer à tous dans les années à venir, selon un calendrier et des modalités règlementaires encore en gestation à ce jour. Petit tour d’horizon des solutions disponibles sur le marché...
3. - Installation de WC et cuves à eaux noires. Kevin, l’heureux propriétaire du remorqueur expertisé par Jo Parfitt le mois dernier, s’interroge sur la manière dont il va gérer ses eaux noires. L’occasion pour notre expert de nous rappeler quelques règles d’or en la matière
   

=> Une Fiche-Musée pour comprendre en quoi le canal de la Marne au Rhin est différents de tous les autres canaux, et pour aller à la découverte de son ouvrage le plus prestigieux, le plan incliné d'Arzviller, et de son bateau-musée, le "Sophie-Marie" 

Et ce n'est pas tout... Vous retrouverez aussi, avec ce numéro, toutes les autres rubriques habituelles du journal :

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