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Voël Martin a un sérieux problème avec les pianos. Ce gars-là ne peut pas croiser un Érard ou un Steinway & Sons sans l’envoyer en l’air ou le jeter à l’eau. Là où cela se corse, c’est qu’en général le pianiste et son tabouret suivent. Quand ce n’est pas le contrebassiste, le violoniste et la chanteuse.
Après avoir posé des pianos à queue dans les rues d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), sur les plages du Sud, puis les avoir perchés dans les arbres, il fait désormais flotter les lourds instruments sur les lacs et étangs de France et d’Espagne. Dernière folie fluviale en date, son “piano-toue” sur le canal de Nantes à Brest.